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Mali: Vers une ouverture internationale de l’ INTEC SUP

L’institut supérieur des techniques Economiques Comptables et Commerciales  (INTEC SUP) a reçu du mardi 27 au Jeudi 29 octobre 2020, la visite des évaluateurs du conseil africain et malgache pour l’Enseignement supérieur (CAMES), pour la reconnaissance internationale des diplômes de l’institut. C’était à son siège sis à ACI, en présence du directeur général Boubacar KANTE.

Ils sont au nombre de deux, à être désignés en tant évaluateurs, dans le cadre du programme PRED du CAMES, qui est un programme de reconnaissance et d’équivalence de diplôme. Il s’agit du Docteur Dimitri Régis BALIMA, maître de conférence à l’Université Joseph Ki Zerbo de Ouagadougou au Burkina Faso et du professeur Rosaline Worou HONDEKON, maître de conférences et directrice de l’école nationale  d’Economie  appliquée  et de Management (ENEAM) au Bénin. Ils sont venir examiner les différents dossiers relatifs à la reconnaissance et l’équivalence des diplômes de l’institut supérieur des techniques Economiques Comptables et Commerciales  (INTEC SUP). Une manière de confirmer sur le terrain, les premiers entretiens faits sur la plateforme en ligne. Les offres concernés cette année sont de 2 diplômes de DUT, 3 diplômes de Licence et 2 diplômes de Master, qui prennent en compte la Licence en journalisme communication, le Master en marketing management, une Licence en droit privé, une Licence en management et logistique, un DUT en informatique de gestion et en finance comptabilité.

« Ce qui m’a le plus impressionné, c’est l’infrastructure dont dispose INTEC SUP et la volonté affichée du promoteur pour investir énormément dans des éléments du studio. Je vois aussi que la direction de l’école a une forte disposition à communiquer. Ce qui est très bien» a déclaré Docteur Dimitri Régis BALIMA, avant d’ajouter « j’en suis satisfait, même avec la qualité du personnel administratif»

 Pour le professeur Rosaline  Worou HONDEKON, c’est la volonté qui compte dans l’enseignement supérieur et cette volonté et détermination se rencontrent chez le promoteur et toute son équipe. Le reste sera d’être dans une amélioration continue. « Le promoteur n’a pas fondé cette école, parce qu’il tient à gagner de l’argent,  mais parce qu’il a une croyance, il a envie de participer à l’édifice, à  la construction de son pays à travers l’éducation. C’est pour cette raison qu’il a accepté de mettre des millions dans la construction des infrastructures, afin de former des cadres de demain» s’est réjouie madame Rosaline  Worou HONDEKON.

Espérons que ces évaluateurs reviendront très bientôt, pour examiner les autres diplômes. A noter qu’INTEC SUP avait présenté l’année dernière 5 diplômes, cette année 7 diplômes.Charles MESSE